Bonjour !
Je vais commencer une histoire que vous allez devoir compléter.
Oui, c'est l'histoire n°2, mais sans règles précises, ce qui signifie qu'elle n'a aucun rapport avec la première histoire.
Début de l'histoire
Je courais. Mais je n'en pouvais plus. Alors, je m'assis, et usai le reste de mon énergie afin d'escalader la grande paroi rocheuse qui constituait la falaise. À peine à mi-chemin, je m'arrêtai. Je mis mes pieds sur des morceaux de pierre durs, puis je mangeai un morceau de mon sandwich, et je bus quelques gorgées de mon eau froide, de la bonne eau de source, de l'eau fraîche. Ensuite, je continuai mon chemin.
Mais la surprise qui m'attendait en haut de la falaise n'était pas totalement bien.
Je reconnus, tout d'abord, une pierre grise et dure dans laquelle était taillée un visage qui était vaguement connaissable pour moi, mais très familier pour les êtres qui peuplaient le village au-dessus de la falaise. Ces êtres, c'étaient des "boules" gris très foncé, voire noir, avec de longs cheveux tressés, d'un blond couleur paille. Ils avaient des formes bizarroïdes sur le torse, tracées au pinceau doux et fin, plongé dans de la peinture beige, rouge et noire. Ils étaient pieds nus, et la plupart étaient des vendeurs de lances, de fournitures d'artisanat et de cannes à pêches. D'ailleurs, l'intégralité de ces êtres pêchaient au bord du grand lac glacial. Ah, j'avais oublié de dire la matière du sol de ce village. La falaise était bien en pierre, je marchais sur un sol de verdure verte et de mousse. Mais ce village était bâti sur de la neige. De la neige blanche et froide. Et un peu plus loin, lorsque les constructions se faisaient de moins en moins présente, il y avait de l'eau, sans doute très froide et glaciale puisqu'elle résidait près de la neige. Donc on peut dire que ces êtres pêchaient dans l'eau glaciale sur laquelle flottaient de gros icebergs glacés. L'eau devait être gorgée de poissons ne vivant que dans le Pôle Nord ou le Pôle Sud, même si je ne savais pas vraiment lesquels. En fait, ces êtres étaient petits.
Je me tournai à gauche et à droite. Il y avait des cerfs au pelage blanc et aux cornes brunes, mais je reconnus aucun ours. Des oiseaux volaient au-dessus du lac et des pêcheurs, en espérant que quelques-uns de ces êtres auraient la bonne volonté de leur donner un peu de leur poisson faisant partie de leur chasse marine.
Hum... Puis-je savoir qui vous êtes ?, toussotai-je. Je n'ai d'ailleurs jamais vu ce lieu auparavant.
Qui nous sommes ? C'est plutôt à toi de nous dire qu'est ce que tu fais ici, espèce d'inconnu émigré ! Tu sais ce qu'on leur fait, aux émigrés ? On les garde ici, prisonniers. On ne leur donne à manger que du pain et de l'eau, dit un des êtres.
J'étais horrifié.
À vous de continuer l'histoire ! (où à moi, naturellement.)
Je vais commencer une histoire que vous allez devoir compléter.
Oui, c'est l'histoire n°2, mais sans règles précises, ce qui signifie qu'elle n'a aucun rapport avec la première histoire.
Début de l'histoire
Je courais. Mais je n'en pouvais plus. Alors, je m'assis, et usai le reste de mon énergie afin d'escalader la grande paroi rocheuse qui constituait la falaise. À peine à mi-chemin, je m'arrêtai. Je mis mes pieds sur des morceaux de pierre durs, puis je mangeai un morceau de mon sandwich, et je bus quelques gorgées de mon eau froide, de la bonne eau de source, de l'eau fraîche. Ensuite, je continuai mon chemin.
Mais la surprise qui m'attendait en haut de la falaise n'était pas totalement bien.
Je reconnus, tout d'abord, une pierre grise et dure dans laquelle était taillée un visage qui était vaguement connaissable pour moi, mais très familier pour les êtres qui peuplaient le village au-dessus de la falaise. Ces êtres, c'étaient des "boules" gris très foncé, voire noir, avec de longs cheveux tressés, d'un blond couleur paille. Ils avaient des formes bizarroïdes sur le torse, tracées au pinceau doux et fin, plongé dans de la peinture beige, rouge et noire. Ils étaient pieds nus, et la plupart étaient des vendeurs de lances, de fournitures d'artisanat et de cannes à pêches. D'ailleurs, l'intégralité de ces êtres pêchaient au bord du grand lac glacial. Ah, j'avais oublié de dire la matière du sol de ce village. La falaise était bien en pierre, je marchais sur un sol de verdure verte et de mousse. Mais ce village était bâti sur de la neige. De la neige blanche et froide. Et un peu plus loin, lorsque les constructions se faisaient de moins en moins présente, il y avait de l'eau, sans doute très froide et glaciale puisqu'elle résidait près de la neige. Donc on peut dire que ces êtres pêchaient dans l'eau glaciale sur laquelle flottaient de gros icebergs glacés. L'eau devait être gorgée de poissons ne vivant que dans le Pôle Nord ou le Pôle Sud, même si je ne savais pas vraiment lesquels. En fait, ces êtres étaient petits.
Je me tournai à gauche et à droite. Il y avait des cerfs au pelage blanc et aux cornes brunes, mais je reconnus aucun ours. Des oiseaux volaient au-dessus du lac et des pêcheurs, en espérant que quelques-uns de ces êtres auraient la bonne volonté de leur donner un peu de leur poisson faisant partie de leur chasse marine.
Hum... Puis-je savoir qui vous êtes ?, toussotai-je. Je n'ai d'ailleurs jamais vu ce lieu auparavant.
Qui nous sommes ? C'est plutôt à toi de nous dire qu'est ce que tu fais ici, espèce d'inconnu émigré ! Tu sais ce qu'on leur fait, aux émigrés ? On les garde ici, prisonniers. On ne leur donne à manger que du pain et de l'eau, dit un des êtres.
J'étais horrifié.
À vous de continuer l'histoire ! (où à moi, naturellement.)